Diat duit everyone !

(Profitez-en pour checker l'article d'avant, y'as ptete des photos en plus.(en fait non, jvais plutot les mettres dans le prochain article) Car oui mère, si tu savais lire, ce dont je doute. Non j'exagère, tu sais lire, mais t'arrives juste pas a comprendre ce que tu lis. Parceque les :

"Oui je suis une grande lectrice! Oui moi je dévore Stephen King. Oui apporte moi tes livres que je les lises. OUI MONSIEUR !"

Tu m'arnaques pas moi, sinon t'aurais pigé que les  "-+*+*/*-+*/-+*/+-*PICTURE TRUC " C'etait moi qui les avaient mis pour me souvenir que j'avais des trucs a mettre ici, mais aussi, comme tu me le disais si bien, pour faire parler les curieux. Tu fais moins la maline hein la curieuse, hein.)

Quand j'avais écris l'article au debut, j'avais mis en titre "On the road again" parceque c'etait la fin du week end et tout, que jretournais en cours machin machin. Sauf que j'ai tellement eu la creve en me levant ce matin que j'ai préféré dormir, j'ai fais un rêve très étrange d'ailleurs, et comme j'ai rien de mieux a faire, je vais le raconter.

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       Il était une fois, un petit garçon. Moi. Ce petit garçon devait intégrer une nouvelle école dans une ville lointaine, très étrange. Un mix entre Los angeles et Las vegas. Et c'est avec sa soeur (grande, noire et elancée) que ce petit garçon arriva en ville. Aussi étrange que cela puisse paraitre, la gare était au milieu du hall d'un hotel. Et d'ailleurs, la route aussi passait au milieu de cet hotel. C'etait un genre, d'hotel à ciel ouvert, en quelques sorte.

"Il faut qu'on te trouves une habitation Darren, tu peux pas rester vivre dans cet hotel, c'est 33€ la nuit et en plus, il donne des clefs en or et pas en argent."

Ce fut les premiers mots prononcés par sa soeur, enfin ma soeur (même dans mes rêves je respecte les quota réglementaires) Et même si le début de la phrase était plutot limpide et sensée, la seconde partie etait plus obscure. J'ignorais que ma soeur avait un probleme avec les clefs en or. Soit, chacun ses problèmes.
Je montais donc les escaliers qui longeait la route ( je vous rapelle que la route traversait le hall de l'hotel ). Ils donnaient sur un balcon. A ma droite, une petit bonne femme semblait s'en voir pour ouvrir la vitre qui donnait sur l'exterieur. Moi pas. Je tourne la poignée et me retrouve dehors. Mais pas sur un balcon, disons plutot sur une longue route en bitume, longée par des palmiers sur des centaines de mètres. Tout était très vert autours, un vert très intense. On sent les beaux paysages de Nouvelle-Zélande.
(Je pense que c'est a peu près a ce moment ou j'ai basculé dans un autre type de rêve, vous savez. Je sais pas si vous visualisez, mais en gros, c'est quand on passe d'un reve un autre, l'histoire se continue mais quand on y réfléchis ça devient n'importe quoi parceque le lien avec la premiere partie n'est plus trop présent. Vous suivez ?)

Bref, je prends de l'altitude, au sens propre du terme, je me met a survoler ses étendues vertes et montagneuses. Toujours à la recherche d'un endroit pour habiter. Ma soeur n'est plus là, c'est maintenant un hibou qui me fait voler, il me tient par les épaules. On passe devant des sortes de granges et de fermes, aménagés en dortoir, mais ça reste précaire. J'ai des standards, quand meme. Les murs sont pleins de trous, mal isolés, impossible de survivre avec cette température frigorifiante. Car oui, en fait, je suis au Canada.

On fini par s'approcher d'une coline. Sur celle-ci se trouve 2 GROS rondins de bois, creusés, avec des couchettes, difficile d'avoir de l'intimité dans ce genre de batiments. L'endroit reste a la limite du vivable et semble etre prévu pour une trentaine de personne. Néanmoins, il surpasse de loin tout les autres habitations du coin. C'est décidé, je vivrais ici. Meme si comme le hibou me le fait remarquer, c'est un peu loin de tout. Peu importe.
Nous ne sommes pas les seuls sur les lieux, d'autres gens arrivent. Mon pote le hibou (transformé en un genre de Gandalf du pauvre maintenant) semblent chercher quelquechose, probablement les tenanciers du lieux, qu'il semble bien connaitre par ailleurs. Il saisit une ecorce d'une taille respectable, et semble faire un signe de son doigt dessus. Peu importe. Il nous précise que si le lieu ne paye pas de mine de l'extérieur, c'est au sous-sol que réside toute sa volonté. Il nous désigne ensuite une porte cachée sous les taillis, vers un des gros rondin, puis enchaine :

"Elles devraient être là, cherchez les."

Ce furent ses mots. Ni une ni deux, moi et mes camarades de fortune les cherchont. Quoi, je sais pas. En tout cas, on a pas eu a chercher longtemps puisqu'elles sont venues a nous (Je dis "elles" parcequ'il disait "elles", mais "ils" semble plus approprié). C'etait un genre d'armée, 6 ou 7 personnes, a la peau bleue ou verte très clair, presque pastel. Je me souviens plus vraiment de ça. En tout cas c'etait classe. Le fait est que nous avons du combattre ces gens. Enfin, nous, eux plutot. Le mystère réside dans le fait qu'une fois vaincu, ils se tranformés en goujons, petits poissons inoffensif, que je m'empressais de mettre dans un verre d'eau, pour pas qu'ils meurent dans l'herbe, les pauvres.

C'est a ce moment là qu'un gros poisson du type gros poisson, d'un jaune or terne, avec un genre de moustache bleu et une simili couronne sur la tete pointe sa tronche a la fameuse porte qui mene sous terre. Il ordonne de stopper immédiatement ce grabuge. Le mage/hibou réplique en défoncant la porte avec ses bras tronconneuse (j'ai pas compris ça non plus). Le poisson dit que le traité de non agression venait d'etre violé (vous vous souvenez l'ecorce que le mage a signé plus haut, et ouais). Le mage rétorque qu'il fallait bien trouvé une façon d'ouvrir la discussion vu que personne ne se manifersait. Le poisson semble remonté me décidé néanmoins de sortir de sa cachette. Il se transforme donc en homme (a la peau bleu ou verte pastel, je sais plus). Fringué un peu comme le prince de Lu, c'était marrant.

 Et c'est là que j'ai été navré par l'imagination pathétique de mon cerveau :
C'était le prince homme-poisson d'un chateau qui avait été attaqué par un méchant sorcier et qui l'avait donc forcé a se retirer au loin, il y a de cela des années. (Originalité ++, oui merci.)

Le mage annonce qu'il est temps de réouvrir l'école des hommes-poissons, que le moment était enfin arrivé. Le prince semble dubitatif au premier abords mais accepte en voyant le nombre de jeunes présents et souhaitant intégrer l'école. Nous descendons donc dans le sous-sol. Les hommes-poissons que nous combattions juste avant était donc là, entrain de manger, comme des morfales. C'était des genre d'homme-pirhanna, des enfants, mais très sympathique. Je me souviens également qu'il y avait un lit pas loin, de genre 5 ou 7 places. Et je me souviens également que la premiere fois que j'avais fais ce rêve (car oui, c'était la seconde fois, enfin je crois), ce lit était destiné a des genre d'enfants/nains/lutins/ que nous allions rencontrés plus tard.

C'est a ce moment là que le reve change encore un peu de direction. Je ne suis plus dans l'histoire, j'ai un point de vue extérieur, meme si le personnage c'est toujours moi, un genre d'homme-cochon-sanglier. Et mon pote du moment c'est un vrai cochon lui, un genre de Babe. Ca doit faire environ 2 semaines que je suis là, et j'ai l'air de m'emmerder royalement. Du coup je fais valser des assiettes, des verres et des couverts par la force de mon esprit. Ca a l'air d'etre naturel pour moi. C'est a ce moment là qu'une bonne femme du genre pincée, disons la directrice du lieu ou quoi me regarde (enfin regarde mon moi cochon-homme-sanglier) et lui demande d'un air stupéfaite :

"Heu, ça fait longtemps que tu sais faire ce genre de choses ?"

"Oui, non, je sais pas, je m'ennuie"

Elle se décide donc a me faire passer des tests, je fais valdinguer des objets divers. Et elle me demande ensuite de faire voler mon pote le cochon. Ce que je tente de faire, malgré quelques appréhensions. Mais celui-ci s'envole. C'est en le regardant que je me rend compte qu'il a des ailes d'un bon diametre qui lui on poussé sur le dos. Un cochon volant, littéralement. Il en chie a se stabiliser et a voler mais il à l'air de bien se marrer. Soit.

Après jme souviens plus trop trop trop. On est parti en mission dans un endroit très enneigé et venteux avec les hommes poissons et mon pote le cochon volant. On la pas vu bien longtemps puisqu'il a fini par s'envoler et le vent la perdu je ne sais où.
Enfin si je sais, puisqu'on fini par le revoir planté dans un tas de neige, en hauteur, la tete la première. Il avait des genre de défense d'éléphants qui lui sortait des fesses (???).

Travelling arrière, je me retrouve dans la maison de mon enfance, sur le canapé, avec mon frêre, qui trouve rien de mieux à dire que :

"Qu'il est con ce cochon"

Tout en se marrant. Donc je pense que oui, la morale de cette histoire, c'est qu'il était; effectivement, sacrément con ce cochon. Heureusement que Yo est toujours là pour remettre un peu de bon sens là ou il en faut

Donc oui, ça n'a aucun rapport avec l'Irlande, oui ça n'a aucun rapport avec rien. C'est juste un rêve que j'avais eu il y quelques temps et que j'ai re eu cette nuit, fallait donc que j'immortalise ça. Et pas la peine de me regarder comme ça, c'est qu'un rêve.

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Bon, là ça va pas, j'ai trop de trucs en retard, faut que je trie mes idées, je reviens bientot. C'est pour ça que c'est un hors serie celui là.